C'est vrai que la flexibilité, c'est un gros avantage. Finalement, on a opté pour rester locataires. On a trouvé une maison sympa avec un loyer effectivement bien en dessous de ce qu'on aurait payé avec un crédit. On met la différence de côté, et on verra bien comment ça évolue niveau boulot et envies de bouger dans les prochaines années.
Quand tu dis "avantages", tu penses à quoi exactement ? Avantages financiers purs, ou tu inclus aussi des aspects comme la tranquillité d'esprit, la liberté de faire des travaux, ce genre de choses ?
Quand je dis "avantages", je pensais surtout à des aspects financiers au sens large. Est-ce qu'il y a des "bénéficescollatéraux" à la location, des trucs auxquels on ne pense pas forcément au premier abord. Bien sûr que la tranquillité d'esprit et la liberté de faire des travaux sont des points importants de l'accession, mais je voulais me concentrer sur le côté purement matériel, on va dire.
En dehors de l'aspect strictement financier, et même si ce n'était pas ta question initiale, il y a un truc à prendre en compte : la responsabilité. Quand t'es locataire, une grosse galère (genre, la chaudière qui lâche en plein hiver), c'est le proprio qui gère. Propriétaire, c'est pour ta pomme. Ça peut peser dans la balance, mine de rien.
Oui, c'est un argument qui se tient. Par contre, faut pas non plus oublier que même si le proprio prend en charge les grosses réparations, t'as quand même des obligations en tant que locataire. Et parfois, se battre avec un proprio pour qu'il fasse les travaux, c'est plus usant que de retrousser ses manches soi-même, surtout si on est un peu bricoleur.
Tout à fait. Et puis, même si on est bricoleur, tout le monde n'a pas le temps, l'envie ou les compétences pour gérer des problèmes plus importants.
En tant que locataire, on peut aussi se concentrer sur d'autres aspects de sa vie, que ce soit sa carrière, ses loisirs, ou sa famille. C'est une forme de liberté aussi, de ne pas être accaparé par les soucis matériels d'une maison.
Exactement, PacifiqueLame. C'est une question de choix de vie. Certains préfèrent déléguer les soucis, d'autres aiment avoir le contrôle total. Y'a pas de bonne ou mauvaise réponse en fait.
Caloris46 a raison, c'est vraiment une affaire de priorités... 😎
Si on parle purement financier, faut voir l'inflation et les taux d'intérêts... Si t'as un loyer fixe et que l'inflation monte, en théorie ton loyer devient de moins en moins cher en valeur réelle. Par contre, si t'as un prêt à taux variable... 😬
Ensuite, faut aussi considérer les placements. Si la différence entre le loyer et la mensualité est investie intelligemment (genre, pas dans des trucs trop risqués non plus 😅), ça peut rapporter pas mal sur le long terme. Faut faire des simulations, quoi. Et puis, y'a le coût de la vie qui peut augmenter, les impôts fonciers, les assurances... Bref, un vrai casse-tête !
Dans certains coins, la valeur des biens immobiliers augmente plus vite que les loyers, donc à la fin, t'es "gagnant" en étant proprio. Mais c'est loin d'être une généralité, surtout avec les taux actuels qui sont... comment dire... 📈 plus élevés qu'avant.
Et puis, il faut aussi se rappeler que le "prêthypothécaire" c'est une "garantie" pour la banque. En cas de "non-remboursement", adieu la maison, elle est "saisieetvenduepourrembourserladette" ! 😱 Ça peut refroidir, même si ça donne une "capacitéd'endettementélevée" au départ...
Moi, j'ai toujours pensé que la liberté n'a pas de prix, alors je suis plutôt location pour le moment. 😉
C'est vrai que l'inflation, c'est un truc qu'on oublie souvent de prendre en compte... Tiens, en parlant d'inflation, j'ai vu le prix des endives au marché, une horreur ! 😳
Plus sérieusement, BinaryBard a raison, faut vraiment tout simuler avec des chiffres réels et des projections. Les placements, c'est une bonne piste, mais faut pas se planter. Et la garantie pour la banque, c'est un point important à considérer, c'est pas juste une formalité. On a vite fait de se retrouver le bec dans l'eau.
DonnerBlume39 a raison de recentrer sur les chiffres et les projections. C'est facile de se laisser emporter par l'idée de la liberté ou de la tranquillité, mais au final, le portefeuille, c'est lui qui décide.
Par rapport aux placements, l'erreur serait de penser qu'il existe une solution miracle. Même avec des taux d'intérêts qui grimpent, le "prêthypothécaire" reste un outil puissant si on arrive à négocier des conditions de taux et durée avantageuses. Là, il faut vraiment faire jouer la concurrence entre les banques. J'ai vu des différences de plus de 0.5% sur des montants importants, ce qui change complètement la donne sur 20 ou 25 ans. Et c'est sans compter l'assurance emprunteur, qui peut représenter une part non négligeable du coût total.
Ce qui me semble important, c'est d'intégrer tous les frais supplémentaires liés à l'achat dans les simulations. Les frais de notaire, la taxe foncière, les assurances, les travaux éventuels... Ça peut vite chiffrer. Par exemple, si on prend une maison à 300.000 euros, il faut rajouter environ 8% de frais de notaire, soit 24.000 euros. Ensuite, il faut prévoir un budget pour les travaux, même si le bien est en bon état. Une déco, une mise aux normes électriques, ça arrive vite. On peut facilement dépasser les 10.000 euros. Et la taxe foncière, c'est une charge annuelle à ne pas négliger. Dans certaines villes, elle peut dépasser les 2.000 euros par an.
Après, faut voir aussi son profil de risque. Si on est du genre à paniquer au moindre imprévu, le risque de saisie en cas de défaut de paiement peut être un vrai frein psychologique. Mais il existe des alternatives, tel que prêt à taux fixe ou variable.
Bref, faut pas se contenter de comparer le loyer et la mensualité. Faut vraiment prendre le temps de faire des simulations complètes, en intégrant tous les paramètres, et surtout, en étant réaliste sur ses capacités financières et sa tolérance au risque.
Si je résume bien, on a parlé flexibilité, responsabilités (réparations, etc.), et surtout de l'importance de faire des simulations financières en tenant compte de tous les frais (notaire, taxes, travaux, assurances, inflation...) et des placements possibles de la différence entre le loyer et les mensualités. On a aussi évoqué le profil de risque de chacun face à l'endettement. C'est bien ça ?
Commentaires (12)
C'est surtout une question de flexibilité. La location te permet de déménager plus facilement si ta situation change.
C'est vrai que la flexibilité, c'est un gros avantage. Finalement, on a opté pour rester locataires. On a trouvé une maison sympa avec un loyer effectivement bien en dessous de ce qu'on aurait payé avec un crédit. On met la différence de côté, et on verra bien comment ça évolue niveau boulot et envies de bouger dans les prochaines années.
Quand tu dis "avantages", tu penses à quoi exactement ? Avantages financiers purs, ou tu inclus aussi des aspects comme la tranquillité d'esprit, la liberté de faire des travaux, ce genre de choses ?
Quand je dis "avantages", je pensais surtout à des aspects financiers au sens large. Est-ce qu'il y a des "bénéficescollatéraux" à la location, des trucs auxquels on ne pense pas forcément au premier abord. Bien sûr que la tranquillité d'esprit et la liberté de faire des travaux sont des points importants de l'accession, mais je voulais me concentrer sur le côté purement matériel, on va dire.
En dehors de l'aspect strictement financier, et même si ce n'était pas ta question initiale, il y a un truc à prendre en compte : la responsabilité. Quand t'es locataire, une grosse galère (genre, la chaudière qui lâche en plein hiver), c'est le proprio qui gère. Propriétaire, c'est pour ta pomme. Ça peut peser dans la balance, mine de rien.
Oui, c'est un argument qui se tient. Par contre, faut pas non plus oublier que même si le proprio prend en charge les grosses réparations, t'as quand même des obligations en tant que locataire. Et parfois, se battre avec un proprio pour qu'il fasse les travaux, c'est plus usant que de retrousser ses manches soi-même, surtout si on est un peu bricoleur.
Tout à fait. Et puis, même si on est bricoleur, tout le monde n'a pas le temps, l'envie ou les compétences pour gérer des problèmes plus importants. En tant que locataire, on peut aussi se concentrer sur d'autres aspects de sa vie, que ce soit sa carrière, ses loisirs, ou sa famille. C'est une forme de liberté aussi, de ne pas être accaparé par les soucis matériels d'une maison.
Exactement, PacifiqueLame. C'est une question de choix de vie. Certains préfèrent déléguer les soucis, d'autres aiment avoir le contrôle total. Y'a pas de bonne ou mauvaise réponse en fait.
Caloris46 a raison, c'est vraiment une affaire de priorités... 😎 Si on parle purement financier, faut voir l'inflation et les taux d'intérêts... Si t'as un loyer fixe et que l'inflation monte, en théorie ton loyer devient de moins en moins cher en valeur réelle. Par contre, si t'as un prêt à taux variable... 😬 Ensuite, faut aussi considérer les placements. Si la différence entre le loyer et la mensualité est investie intelligemment (genre, pas dans des trucs trop risqués non plus 😅), ça peut rapporter pas mal sur le long terme. Faut faire des simulations, quoi. Et puis, y'a le coût de la vie qui peut augmenter, les impôts fonciers, les assurances... Bref, un vrai casse-tête ! Dans certains coins, la valeur des biens immobiliers augmente plus vite que les loyers, donc à la fin, t'es "gagnant" en étant proprio. Mais c'est loin d'être une généralité, surtout avec les taux actuels qui sont... comment dire... 📈 plus élevés qu'avant. Et puis, il faut aussi se rappeler que le "prêthypothécaire" c'est une "garantie" pour la banque. En cas de "non-remboursement", adieu la maison, elle est "saisieetvenduepourrembourserladette" ! 😱 Ça peut refroidir, même si ça donne une "capacitéd'endettementélevée" au départ... Moi, j'ai toujours pensé que la liberté n'a pas de prix, alors je suis plutôt location pour le moment. 😉
C'est vrai que l'inflation, c'est un truc qu'on oublie souvent de prendre en compte... Tiens, en parlant d'inflation, j'ai vu le prix des endives au marché, une horreur ! 😳 Plus sérieusement, BinaryBard a raison, faut vraiment tout simuler avec des chiffres réels et des projections. Les placements, c'est une bonne piste, mais faut pas se planter. Et la garantie pour la banque, c'est un point important à considérer, c'est pas juste une formalité. On a vite fait de se retrouver le bec dans l'eau.
DonnerBlume39 a raison de recentrer sur les chiffres et les projections. C'est facile de se laisser emporter par l'idée de la liberté ou de la tranquillité, mais au final, le portefeuille, c'est lui qui décide. Par rapport aux placements, l'erreur serait de penser qu'il existe une solution miracle. Même avec des taux d'intérêts qui grimpent, le "prêthypothécaire" reste un outil puissant si on arrive à négocier des conditions de taux et durée avantageuses. Là, il faut vraiment faire jouer la concurrence entre les banques. J'ai vu des différences de plus de 0.5% sur des montants importants, ce qui change complètement la donne sur 20 ou 25 ans. Et c'est sans compter l'assurance emprunteur, qui peut représenter une part non négligeable du coût total. Ce qui me semble important, c'est d'intégrer tous les frais supplémentaires liés à l'achat dans les simulations. Les frais de notaire, la taxe foncière, les assurances, les travaux éventuels... Ça peut vite chiffrer. Par exemple, si on prend une maison à 300.000 euros, il faut rajouter environ 8% de frais de notaire, soit 24.000 euros. Ensuite, il faut prévoir un budget pour les travaux, même si le bien est en bon état. Une déco, une mise aux normes électriques, ça arrive vite. On peut facilement dépasser les 10.000 euros. Et la taxe foncière, c'est une charge annuelle à ne pas négliger. Dans certaines villes, elle peut dépasser les 2.000 euros par an. Après, faut voir aussi son profil de risque. Si on est du genre à paniquer au moindre imprévu, le risque de saisie en cas de défaut de paiement peut être un vrai frein psychologique. Mais il existe des alternatives, tel que prêt à taux fixe ou variable. Bref, faut pas se contenter de comparer le loyer et la mensualité. Faut vraiment prendre le temps de faire des simulations complètes, en intégrant tous les paramètres, et surtout, en étant réaliste sur ses capacités financières et sa tolérance au risque.
Si je résume bien, on a parlé flexibilité, responsabilités (réparations, etc.), et surtout de l'importance de faire des simulations financières en tenant compte de tous les frais (notaire, taxes, travaux, assurances, inflation...) et des placements possibles de la différence entre le loyer et les mensualités. On a aussi évoqué le profil de risque de chacun face à l'endettement. C'est bien ça ?